– La section TECHNÈS de l’Université Rennes 2 a organisé, le 23 septembre dernier, une journée d’étude sur
Les formats larges au cinéma et à la télévision. Durant cette journée, de nombreux intervenants sont venus débattre du sujet, notamment Jean-Pierre Verscheure (professeur honoraire à l’Institut national supérieur des arts du spectacle de Bruxelles) qui a proposé une communication sur la notion de « formats larges » dans l’industrie cinématographique. Par ailleurs, à l’occasion de la cérémonie de fin d’études des chercheurs-boursiers de la Cinémathèque française, Fabien Le Tinnier (Université Rennes 2 et Université de Lausanne) a présenté, avec le concours d’Alexia De Mari (Université Paris 3), une première « histoire technique des machines Aäton », basée sur les résultats des recherches qu’il a pu mener au Conservatoire des techniques cinématographiques de la Cinémathèque française, dirigé par Laurent Mannoni.
– En partenariat avec TECHNÈS, la Cinémathèque française présente, jusqu’au 29 janvier 2017, l’exposition intitulée
De Méliès à la 3D : la machine cinéma. Cette exposition, qui s’intéresse à l’histoire de la technique et aux métamorphoses successives de l’image animée — depuis la fin du xixe siècle jusqu’à l’ère du numérique, en passant par la chronophotographie, le Technicolor, le CinemaScope, le format 70 mm, la caméra légère, etc. — s’est donné pour mission de dévoiler « comment la technique engendre des formes inédites, et réciproquement, comment la recherche esthétique — le désir de voir de nouvelles images — donne naissance à de nouveaux appareils ou procédés » (Laurent Mannoni, commissaire de l’exposition).
– La section TECHNÈS de Lausanne lance un
appel à contributions pour le colloque international
Du « direct » au numérique : archéologie et nouvelles perspectives des pratiques cinématographiques légères dans le monde, qui aura lieu à l’Université de Lausanne, du 3 au 5 mai 2017. Co-organisé avec l’Université de Picardie Jules-Verne, ce colloque souhaite « articuler une réflexion historique sur la constitution de cet ensemble cohérent que sont les “médias légers” et son archéologie, avec un état des lieux contemporain sur les pratiques numériques qui se situent dans cet héritage ».
